Au yeux de mon père
J'ai l'impression d'être qu'une simple poussière
J'en suis presque sûre
Car j'ai toujours l'impression de parler au mur
Je suis juste déçue
Que tu ne me comprenne plus
T'as jamais eu d'autorité
T'as toujours besoin de maman pour t'aider
Mais quand il s'agit de gueuler
Là t'es le Premier
Le côté paternel est absent pour moi
Car ma soeur a toujours été défendu et pas moi
On entend parler que d'elle aux conversations téléphoniques
Et c'est bien là le "hic"
Moi j'ai des problèmes de santé
Et je préférerais en crever
Pour ne plus voir ces égoistes
Qui tournent autour de ma piste
Je suis pas croyante
Je suis pas tolérante
Mais au fond les défauts
Ce ne sont que de simples mots
Qui veulent rien dire...
J'ai l'impression d'être qu'une simple poussière
J'en suis presque sûre
Car j'ai toujours l'impression de parler au mur
Je suis juste déçue
Que tu ne me comprenne plus
T'as jamais eu d'autorité
T'as toujours besoin de maman pour t'aider
Mais quand il s'agit de gueuler
Là t'es le Premier
Le côté paternel est absent pour moi
Car ma soeur a toujours été défendu et pas moi
On entend parler que d'elle aux conversations téléphoniques
Et c'est bien là le "hic"
Moi j'ai des problèmes de santé
Et je préférerais en crever
Pour ne plus voir ces égoistes
Qui tournent autour de ma piste
Je suis pas croyante
Je suis pas tolérante
Mais au fond les défauts
Ce ne sont que de simples mots
Qui veulent rien dire...
- Explication du titre du poème : Mon coin paternel c'est comme les hirondelles, ça vole sans jamais revenir et c'est simplement incompréhensible...